Mercredi c’est le jour des enfants alors direction le centre aéré…
L’Albatros.
Quoi ?
C’est top comme centre aéré !
Bacs à sable à foison, pièces d’eau pour jouer aux bateaux à voile, grandes pelouses pour jouer au foot…
Oui mais non pas au foot, faut pas déconner non plus !
Donc : Mercredi 17 novembre 2010, date à retenir.
C’est le jour où j’ai pu rendre la politesse au docteur House pour son accueil royal en sa demeure et sur son golf de BRESSON.
C’est aussi le jour où ce même docteur a décidé de trouver plus de balles qu’il n’en a perdu, j’ai bien dit balle perdue et non noyée.
C’est surtout le jour où nous avons réussi à 4 joueurs à faire moins bien qu’un seul amateur sur 18 trous…
Que voulez vous, il y a des jours comme ça où rien ne va.
Les fers qui ne fonctionnent pas.
Le putting j’en parle même pas.
Et la réservation de l’hôtel, sans commentaires…
J’ai donc décidé de servir de guide plutôt que de servir de joueur.
Et quitte à faire une visite guidée sur le « lamineur de mental et de swing », autant la faire à plusieurs cette fois ci.
Dame Folgan et le Sieur Fermier sont de la partie.
En 4BMB.
+19 au final…
Ça calme…
On a tous pourtant eu de beaux coups.
Golfarmer a été exemplaire dans son jeu de fer, Dame Folgan a toujours sa régularité rassurante, Olivier a réussi à tenir la distance pour son baptême et quand à moi j’ai eu le plaisir de bien envoyer sur les départs au driver mais…
…Mais ce n’était pas du scramble…
Le parcours nous a tous gentiment mis une bonne grosse fessée.
Au moins Olivier est reparti ravi avec son par au 6 mais surtout conscient du caractère unique de l’Albatros.
Il a de la chance lui, la première fois sur ce parcours, ça compte pas le score…
J’avoue qu’en ce qui me concerne, je préfère oublier mon jeu ce jour là pour ne me souvenir que de l’ambiance !
J’ai beau être ravi d’avoir pu vivre avec Olivier sa première fois sur ce parcours, je n’arrive pas à m’enlever de la tête mon niveau pitoyable de cette fin de saison…
Je crois que le froid ne me réussit pas niveau souplesse.
Bon, on va faire simple.
Olivier tu reviens au printemps et on fait comme si je n’avais rien écrit !
sur ce je vais aller finir de noyer les balles que j'avais tenté d'enterrer vivantes...
Oups ... te prends pas le chou, y'a des jours (périodes) comme ça ...
RépondreSupprimerOn sait pas (parfois on sait quand même) pourquoi ce qui marchait ne marche plus.
La maturité c'est aussi de savoir les avaler ces périodes. ;-)
un immense merci pour la qualité de ton accueil et ta bonté salvatrice que de m'avoir extirpé de la nuit froide parisienne !!!
RépondreSupprimerje retiens ton offre que de faire semblant de ne rien avoir lu concernant ma première visite sur l'albatros, et d'en écrire un volet au printemps .....
l'albatros c'est comme le cheval, il faut remonter dessus pour le surmonter.
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