dimanche 13 mars 2011

ENGAGEZ VOUS…RENGAGEZ VOUS !...



J’ai passé deux après midi avec Dave et c’était génial !

Je précise peut être.

Pelz, Dave Pelz.





Non parce que Vanina rappelle toi que je ne suis rien sans toi, seul au mondeuuuu oua ouaaa ouaaaa un après midi tout entier ça use un peu; alors deux…

Objectif habituel, petit jeu et putting.
Avec prise de score sur les ateliers petit à petit.
Le « putt 6 feet », le « short chip » seront les premiers.
Puis retour sur le travail des longs fers et des bois.
Et enfin, travail sur les approches entre 30 et 70m. Je note sur mon carnet pas noir le club et l’amplitude de swing pour chaque coup régulièrement réussi.




Pour les deux ateliers choisis lors de cette séance, je les ai fait plus de 5 fois chacun et j’ai pris le meilleur résultat.
J’ai joué pour le putt à 6 feet (2m) 18 balles et 15 sont rentrées, ce qui ramené à 10 me donne 8 soit un index théorique de 1.
Bon, je crois que je vais faire ce type de test une dizaine de fois et je sortirai un score moyen, ce sera plus réaliste.
Pour le « short chip » pareil. Meilleure session avec 1 balle dedans, 4 dans les 1m et 5 dans les 2m soit un score de 17 donc un index de 6. Même constat, mieux vaut le faire plusieurs fois et sortir une moyenne…

L’intérêt, le mot clef de ces exercices à mon avis :
L’automatisation.
Quel club me permet de réussir ce type de coup de la façon la plus certaine et la plus régulière.

Pour le « short chip », c’est mon PW, le poids sur la jambe avant, stance plus serré et légèrement ouvert, Backswing au plus court (autours de 7h30/8h pour moi désolé j’ai pas noté l’heure exacte) et rythme normal sans décélération bien entendu.

Tout est noté dans le carnet comme ça le jour où je me retrouve avec ce coup à faire sur un parcours, je saurais déjà plusieurs choses, je sais le faire, je l’ai déjà fait, je l’ai déjà réussi plusieurs fois et même que je l’ai déjà rentré !

Pour reprendre un célèbre philosophe créole :
« C’est bon pour le moral, c’est bon, bon… »

J’ai ensuite rempli le carnet sur certains autres ateliers mais sans prendre de score, pour le moment je cherche le bon club et le bon coup.
Ainsi je peux vous annoncer avec une joie mal contenue que mon sand wedge avec un backswing à 9h, poignets armés est idéal pour planter la balle à 60m pile poil.

J’ai aussi et surtout constaté un certain nombre d’amplitudes et de « genres » de swing que je note scrupuleusement. Le nombre de combinaisons que l’on peut faire avec 3 amplitudes avec 4 clubs différents deux « genres » de swing (normal, tenu, des termes qui me parlent) est certes calculable mais beaucoup moins facile à retenir quand vient le moment de jouer un coup précis en compétition !

Je n’ai que trop de souvenirs de ce genre de situation où, à 50m du mât après deux coups corrects sur un par5 je me suis demandé : « C’est avec le SW ou le GW que je réussissais ce coup au practice ? »
Résultat, ça finit avec une bonne grosse gratte qui en plus ne répond pas à la question !

Il me reste encore pas mal de « distances » à couvrir.
Mais je commence à m’intéresser aux choses importantes (enfin j’espère) concernant le petit jeu.
Les éléments de variation et leur importance.

Plutôt que de disséquer mon swing, je lui fais confiance, c’est déjà une bonne chose.

Mais j’essaye de trouver la différence de distance en ne changeant qu’un paramètre à la fois.
Exemple, combien de mètres de différence quand j’ai un grip « court » et quand j’ai mon grip habituel.
Donc le travail au practice maintenant va porter là-dessus.
Identifier les éléments qui interviennent sur la variation de distance, les deux les plus flagrants étant bien sur le club et l’amplitude du backswing, et quantifier cette variation élément par élément.
 



Parce que quand je regarde les champions à la télévision, je me rends bien compte qu’avec un même club, ils peuvent couvrir plus de 30m à moins de 100m du drapeau.
Il doit y avoir une méthode sure pour y arriver…







L’important restant de prendre des notes précises pour en faire une synthèse simple à appliquer sur le parcours et pas un truc incompréhensible comme va finir par devenir cet article si je continue dans cette voie !

Pour finir, direction les baballes de practice pour leur mettre quelques bonnes baffes !
Un seul seau, soyons frugal mais efficace, j’ai juste un truc à vérifier.
Mon swing est soluble, ça je le savais déjà mais je viens de me rendre compte qu’il était aussi, comment dire, frigo-extensible :
En dessous de 14°C je ne fais pas un backswing complet et dynamique !

Et là, le temps d’un seau, je me suis bien défoul…relâché et les balles sont enfin parties comme il faut et aux distances auxquelles j’étais habitué l’an dernier aux douces températures de l’automne.

Non parce que 6 mois d’hiver, je ne voudrais pas dire mais ça commence à bien faire !




Note après exercices du week end :

Les éléments « surs » à prendre en compte pour la distance : le club (oui ça on s’en doutait un peu), l’amplitude du backswing (bas, moyen, haut), l’armement ou pas des poignets, la hauteur de prise de grip et enfin le swing en lui-même (normal ou tenu).
Avec tout ça et mes 4 wedges je vais avoir de quoi couvrir de 20 à 70m du drapeau.
Reste à faire une synthèse des notes prises et vous faire mon petit rapport....

1 commentaire:

  1. Je pense pouvoir augurer que cette séance d'entraînement t'a été très profitable. C'est un peu le même genre de chose que j'aimerais mettre en place pour mes entraînements.

    Bon, me faudrait surtout du temps, là !

    Plus tu t'approches du trou, plus la précision devient vitale.
    Un slice coûtera souvent bien moins cher qu'une virgule. Quand tu finis dans le rough, tu peux rattraper avec une bonne approche et un bon putt. Un putt raté, c'est un point de plus.

    Tout se joue à moins de 75 mètres ;)

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