mardi 29 décembre 2009

AU PRACTICE ET AU TROT !...

Stéphane, combattant parmi les combattants, a repris le chemin des golfs pour revoir le chemin de son swing.
J’en suis ravi et je suis sur que je ne suis pas le seul…
Comme tout professionnel du golf, il a quelques exigences en matière d’entrainement, l’une d’elles portant sur la qualité des balles.
Et depuis que j’ai eu la joie d’avoir de ses nouvelles il m’a souvent parlé du practice de Maison Laffitte.
Mouais…
Practice à l’hippodrome, taper la baballe au milieu des canassons, pas trop motivé…
Mais bon, ce n’est pas si loin de chez moi, je ne connais pas, point d’apriori mon garçon, après tout il y a un peu plus d’un an, je pensais que le golf était réservé à une élite triée sur le volet, donc, bon, allez, on va tester.
En plus Stéphane m’a vanté la qualité des baballes alors…
GPS.
Maison Laffitte, ok, golf, pas de golf, bon ok, hippodrome alors, c’est bon, direction les bourrins.
Le GPS est tellement précis que j’ai fait demi-tour vu que j’arrivais sur une piste large et cendrée avec justement des équidés trottant nonchalamment et des gens dessus le sourcil relevé, l’air étonné tendance agacé.
Bah quoi j’ai des chevaux moi aussi !
Et en plus j’en ai 130 et en plus je suis au chaud, les fesses calées dans un siège moelleux, pas une colonne vertébrale congelée !
Non mais.
Donc demi-tour…
Stéphane arrive au même moment et sur le bon parking, youkaïdi youkaïda, direction là où y’a pas d’Equus Caballus.
Nous sommes reçus par deux demoiselles charmantes qui causent de je ne sais trop quoi pendant 10mn puis se rendent compte qu’on existe, Stéphane fait le plein de crédit baballe et en avant.
Nous traversons plusieurs zones d’entrainement spécifiques, approches courtes, bunker, putting, nickel tout ça !
On prend deux seaux chacun, tapis extérieur, Tout comme lui, je n’aime pas avoir un truc au dessus de la tête quand j’ai un driver dans les paluches.
Échauffement, je sors le Bushnell pour vérifier les distances, il y a un panneau à 250m qui est à 256m précisément et il y a encore de la place derrière, voila qui est parfait, on va pouvoir bourriner un peu, ça tombe bien.
Bon, on ne le touchera même pas mais on s’est bien approchés quand même.
Hiver, vent de face, entorse à la main gauche toussa…
Sérieusement, aucune chance de faire ce genre de distance en hiver avec un léger vent de face tout de même et des balles de practice, aussi bien soient elles.
Et elles sont bien, très bien mêmes !
Rien que pour la qualité je vous conseille d’y aller !
Superbe séance d’entrainement de 3h avec 7 ou 8 seaux vidés chacun, on a bien profité !
Petite causette avec un voisin de tapis qui lorgnait depuis un quart d’heure nos sacs respectifs, vu les marques typées « clubmaking » dans les sacs.
Discussion sur le métier, les tarifs variables, le modus operandi et tout et tout.
Test de nos clubs respectifs, le monsieur a une série plutôt ancienne.
Si ancienne que son bois est en bois !
Un Persimonn !
Je n’ai pas pu résister, j’ai demandé gentiment l’autorisation de faire un slice avec…
Et bah même pas sur la piste des zèbres !
On finit par rompre gentiment car il est temps de finir les seaux et de rentrer.
Oui rentrer Stéphane…
Non, on ne retourne pas sur la pelouse reprendre une baballe pour faire le drive du jour !
Ah bah si.
Bon allez, go !
Ah bah non, encore une…
J’ai l’impression d’essayer de faire sortir un gosse de la mer parce que c’est l’heure de dîner…
En même temps cela fait du bien de voir cette joie vraie et naturelle de faire son sport favori…
Allez, on rentre !!!
Tout ça pour dire que j’y retourne dès que possible.
Hein Stéphane ?
PS : un article entier sur Maison Laffitte et j’ai pas dit cheval, ah ! ah ! ah !
Et merde…perdu…

dimanche 27 décembre 2009

STOKHANOQUOI ?

Étrangement, pour bien avoir un club en main, il faut l’avoir bien pris en grip…

Cela fait 4 petits jours que j’ai de nouveaux ma série de fers au complet avec le copain driver, il est donc temps de démarrer le projet : « jardin d’acclimatation » c'est-à-dire direction le practice pour des séances longues de seaux de balles afin de se faire aux nouveaux clubs.
Samedi, villennes le matin, les tapis sont blancs de la gelée matinale et…OUCH !...un peu dur au contact.
Tigrod, aussi passionné de golf que de cuisine et quand vous savez les recettes qu’il se mitonne, vous imaginez aisément son niveau de passion, était lui aussi de la partie.
Le froid et la dureté des tapis n’aident pas trop pour être relâché dans le swing mais au bout de trois seaux, je réussis à créer une zone décongelé de quelques centimètres carrés et je peux être un peu plus à l’aise.
Encore 3 ou 4 seaux et le soleil aidant, nous partons faire la balade sur le compact histoire de vérifier le pouvoir autocollant de la terre des fairways.
Expérience plus que concluante !
Un petit verre au chaud, je laisse l’ami attaquer la face nord du burger maison en solitaire et je rentre sagement après cette première grosse séance.
Aujourd’hui dimanche, même programme sauf que j’y suis après le dégel des tapis, vers 14h et me revoilà, obéissant à la loi du nombre.
7 seaux vont y passer.
Non que j’ai décidé de swinguer jusqu’à épuisement, simplement, juste suffisamment longtemps pour m’habituer aux shafts et commencer à jouer avec.
Draw, fade, balle tendue, accélération dans la rotation du bassin au downswing, demi-swing, wedging, tout y passe ou presque, ne changeant de club que lorsqu’une bonne balle est faite deux fois de suite histoire d’être sur d’avoir bien compris la première fois.
La quinzaine de seaux dans le week end, cela me rappelle mes premières séances de practice avec une différence notoire tout de même, ce n’est plus du stakhanovisme car c’est fait avec méthode.
Je fais attention au fameux GAP (grip, alignement, posture) avant chaque coup donc il me faut deux à trois fois plus de temps qu’avant.
Désormais, chaque coup a un objectif alors qu’avant le principe était que sur le nombre il y en aurait sans doute une de correcte.
Raisonnement assez peu pratique sur un parcours où je n’ai pas 10 Mulligan à chaque coup !
Et dire que tout l’hiver va être comme ça…

vendredi 25 décembre 2009

ON A BIEN NOYÉ JOËL ?

j'espère que vous avez passé de belles fêtes de noël et que vous avez reçu plein de cadeaux golfiques !
Encore une petite ligne droite et on attaque les bonnes résolutions 2010...


BONNES FÊTES DE FIN D'ANNÉE AUX GOLFEUSES ET AUX GOLFEURS!!!







Et aux autres aussi, pas de sectarisme... ;)

mercredi 23 décembre 2009

LES PROJETS DU VAUDOU…



Papa noël est en avance et c’est tant mieux !
Suite au fitting avec Vincent, j’attendais avec une patience peu commune mes nouveaux fers et mes deux bois.
J’en étais à faire du putting dans le couloir de l’étage pour penser à autre chose quand le jour est enfin arrivé !
Le jour du test grandeur nature.
Bon, il fait 3°, il y a encore de la neige sur le practice, une couche de vêtement en plus et on y pense plus.
Le froid est frustrant pour les joueurs de golf, l’air ne porte plus vraiment la balle, les distances ne sont plus là, il faut s’adapter sur les parcours et mettre son égo de coté et prendre un voir deux clubs de plus.
Je suis sur le practice en avance car il est important de bien échauffer les muscles à ces températures.
Quand Vincent arrive, nous avons d’un commun accord prit le parti de tester les clubs un par un dans l’ordre croissant.
Vincent ne me donne aucune information préalable sur le travail effectué, on refait un fitting en quelque sorte et je donne mes sensations, club après club.
Les seules données connues sont les shafts, PROJECT X 6.0 pour les fers, UST IROD DRIVER 65g STIFF pour le bois3 et le célèbre ALDILA VOODOO 75g STIFF pour le driver.
Je sais que j’ai demandé plus poids en tête mais voila, maintenant il est temps de passer à la prise en main.
Le PW pour commencer.
OUCH !
Le fer9 ensuite.
WOUHA !
Le fer8 rapidement suivi du fer7.
AYOUPI !
Et enfin, les deux fers pour se lâcher, le fer6 et le fer5.
OUMPAYA !
Avouez que c’est de l’analyse plutôt fine non ?
Plus sérieusement, l’ensemble des fers est pile poil.
Du poids en tête, un shaft qui tient plus que la route.
Il tient tellement la route que je me retrouve obligé désormais de faire un swing avec le corps et non juste avec les bras. Ce qui tombe bien car c’est ce que j’essaye d’avoir depuis quelques mois.
Mais j’ai essayé…Par mégarde…Pas une bonne idée…Surtout avec ce froid…Me suis fait engueuler par mes doigts…
Chaque fer étant revenu dans le sac, je me tourne vers Vincent et je regarde avec gourmandise les deux clubs qui restent dans son sac de transport.
Il me tend le bois3 d’un air entendu.
BAFFFYOUUHAAAAA !!!
En langage golfique cela veut dire excellent contact, un shaft solide qui reste dans la trajectoire sans difficulté, une balle plus basse mais plus puissante, un vrai plaisir !
Allez le driver maintenant.
BOUDIOUUUUUUUUUU !
Voila ce que j’appellerais un club d’homme !
Pour preuve, sur cette photo j’ai déposé sur les Project X l’ancien shaft et le Voodoo.
C’est flagrant non ?
Une balle plus basse, un club qui passe exactement là où la trajectoire du swing l’a déterminé.
Quand ce n’est pas la bonne trajectoire c’est tout aussi navrant à voir mais j’ai réussi à sortir deux beaux drives sur mes 5 balles de prises en main et les balles de practice ont filé droit vers le grillage du fond pour retomber une dizaine de mètres devant. Un bon 200/210m mais avec ces températures, il ne faut pas espérer beaucoup plus, surtout avec ce genre de balle.
Vincent va faire quelques balles aussi, il a patienté encore plus que moi car il ne voulait pas les tester avant ma prise en main.
Il est temps d’aller se réchauffer un peu au club house et de découvrir les détails techniques des travaux de Parrain.
Ah bah non, il ferme. On reste 5mn puis nous repartons dehors finir la discussion.
Inutile de faire la liste ici mais effectivement il y a du poids en tête, les tailles club par club sont d’une régularité impressionnante, chaque club est passé par la case « Puring » et l’ensemble respire une qualité de travail irréprochable.
Un travail de professionnel aguerri.
À moi maintenant d’être digne de ces 8 petits chefs d’œuvres.
Merci Vincent !

lundi 21 décembre 2009

ON SE BALLADE ?

Sur le net ?
Comme tout bon mordu qui se respecte j’ai du visionné quelques centaines de vidéos de golf sur la toile et je ne parle pas des sites visités !
Néanmoins, de temps en temps, certains sites passent dans les favoris.
Informations utiles, mises à jour courantes et conseils pertinents font qu’il est bon de conserver ces sites sous la main.
Il y a aussi les forums de discussions sur le golf, je me promène dans quatre forums différents car chacun d’eux a sa particularité.
Le coin des copains chez les Gentlemen, le coin instructif chez Coachingolf, le coin plein de monde chez Golftechnic et le coin bien sympathique de la Passion du golf.
À chaque fois, chaque jour il s’y passe quelque chose d’intéressant, de convivial, de drôle alors quand je ne joue pas j’essaye d’y faire un tour et de participer un peu…
Pour les sites, il y a aussi de quoi assouvir sa curiosité, que ce soit la pédagogie, le matériel ou les actualités, j’en ai quelques uns que je passe voir régulièrement et certains sont dans les favoris sur votre gauche sur cette page.
Sans oublier les autres blogs que je vais voir dès qu’un nouvel article parait car j’aime aussi lire les expériences des autres, c’est très important de ne pas rester dans sa bulle tant qu’on n’est pas à l’adresse…
Bon tout ça pour dire que j’ai remis à jour la zone liens donc n’hésitez pas, soyez curieux !

dimanche 13 décembre 2009

HIVER SÉVÈRE SUR LE VERT, JE PERSÉVÈRE…

Le froid s’est installé, c’est une certitude depuis l’entraînement dominical.
Envie d’avoir un truc sur les oreilles, ne pas comprendre pourquoi les gants de golf ne sont pas vendus par paire, avoir peur de faire une gratte, voici des éléments annonciateurs de la période froide.
J’ai fait 6 seaux de balles et je n’ai pas réussi à me réchauffer, je suis allé sur le putting green mais je ne suis pas resté longtemps, j’ai essayé les approches courtes, pareil.
Va falloir songer à s’équiper car je ne vais pas abandonner à cause d’un coup de fraîcheur, non mais !
Cette semaine, bien au chaud, j’ai participé à la création d’un logo pour une entreprise qui va bientôt voir le jour, bien sur en rapport avec le golf…
Cette semaine, toujours bien au chaud j’ai discuté avec Parrain de mes futurs clubs.
Et, toujours bien au chaud, j’ai entamé la réflexion hivernale sur ce qu’il va falloir mettre en place pour atteindre les objectifs 2010.
Cibler les divers types d’entraînement. Bunker, approches courtes, roulées, lobées, putting etc. La liste est longue.
Préparer ces cessions avec un professeur bien entendu. Je l’ai trouvé, on va en discuter bientôt.
Enfin, il va falloir « mesurer » les progressions avec un outil bien connu : la statistique.
J’ai posé la question sur Coachingolf afin de trouver de l’aide pour dénombrer les différentes statistiques à prendre en compte et une liste s’est rapidement mise en place. La voici plus ou moins dans l’ordre.
Fairway touchés ou pas pour mesurer la précision des mises en jeu. On ne prend pas en compte les par3 bien sur où on va compter par contre les greens touchés du premier coup.
La distance mesurée sur les mises en jeu, en différenciant le driver avec les autres clubs, sans les par3.
Le GIR, Green In Regulation, c'est-à-dire le par moins deux coups (les putts) donc 1 coup pour être sur le green du par3, deux pour être sur le green du par4 et trois pour le par5.
Les pénalités afin de trouver le score moyen en cas de pénalité.
Le scrambling, c’est la capacité à faire le par dans le cas où n’est pas sur le green en régulation.
Le sand save, c’est un peu identique, un sand save c’est une sortie de bunker avec un seul putt ensuite.
Et les statistiques sur le putting. Essentiel le putting !
Le nombre de « trois putt », chiffre qui doit être très bas ! un seul serait largement suffisant.
La moyenne de putt en cas de GIR et au-delà du GIR. En cas de GIR elle doit être inférieure à 2 ou très proche et hors GIR, elle doit être proche de 1.5 car le putt suit une approche courte et donc plus proche du drapeau dans ce cas en général.
La distance d’où est joué le premier putt. Chiffre qui doit baisser au fur et à mesure ce qui montrera que la précision s’améliore. Il faut compter cette distance en pas et convertir ensuite en mètres. Mon pas fait 83cm, j’aurai préféré avoir un pas qui fasse une distance plus simple mais bon…
Bien sur le nombre de putts total, actuellement autours de 31, j’aimerai passer sous les 30 l’an prochain.
Il peut y avoir d’autres données à prendre en compte comme le taux de réussite de greens touchés entre 125 et 150m par exemple.
Différencier le GIR en fonction du par aussi est révélateur.
Bon, maintenant il va falloir essayer de mettre ça en forme pour exploiter les données au mieux…
Mais pour le moment, un bon chocolat chaud !

mardi 8 décembre 2009

LES DON QUICHOTTE DU ZOZIO...

Lundi matin.
Soleil et légère brume qu’ils disent chez Me Météo.
J’ai passé la soirée de la veille à vérifier 3 fois le matériel et la tenue.
Rendez vous à 9h00 avec des membres de Coachingolf pour aller se frotter aux départs blancs de l’albatros.
Je suis là bas à 8h30, on ne sait jamais des fois que je sois retardé sur la route en passant par les chemins forestiers de nuit pour être à l’heure…
Cela me rappelle l’état d’esprit dans lequel j’étais, plus petit, au moment de partir en colonie de vacances ou même juste à la pêche. On va se coucher excité comme une puce sous ecstasy, l’œil impossible à fermer à part en le scotchant. On se réveille en panique une demi-heure avant la sonnerie, pas grave, petit déjeuner, douche, la copine qui gueule parce que le réveil, à l’heure lui, sonne pendant qu’on est encore sous la douche.
Le bonheur quoi…
Donc practice, une légère brume effectivement cache encore le soleil mais pas de pluie, pas de nuage menaçant au loin et un brin de vent tout de même.
L’albatros sans vent c’est un non sens, c’est comme une glace chaude, ça n’existe pas.
J’ai déjà fait mes deux seaux de balles réglementaires quand arrivent le reste de la troupe. Yann est là et fait les présentations car je ne connais personne.
Yann est toujours dans les bons coups.
Il va se frotter à l’Aigle ce matin.
Il n’est pas fou lui…
Donc, Didier, Carré, Réa sont les compagnons du jour, les don Quichotte de l’Albatros (ça pourrait faire un bon titre de film ça, non ?). Je laisse les pseudos par soucis de discrétion, je ne sais pas encore s’ils vont apprécier le compte rendu…
Je pars en premier avec Réa et un troisième invité, Jean Baptiste, qui va découvrir le parcours des jaunes.
Il a bien raison.
Il n’est pas fou lui…
Réa propose une stratégie de départ, la motivation communautaire, j’approuve sans réserve, tout élan positif est bon à prendre quand on joue des blancs ce gentil « petit » monstre…
Le 1, le petit par4 en dog leg droit tout simple, une croix !
Un top monstrueux qui me vaut une tournée immédiate, un autre après, une gratte ensuite, je dois être en 6 sur le green je crois, je relève direct.
Bon, dans mes rêves de la veille j’avais prévu un bogey relax.
J’avais juste oublié la petite différence entre le rêve et la réalité, là pour le coup c’est bon.
Bien fait de m’en servir comme titre de blog moi, j’avais du prévoir l'Alzheimer après un an de golf sans doute…
En plus il faut ajouter un petit détail notoire concernant les conséquences d’une brume épaisse qui gentiment s’abat à la place du soleil qui devait se lever et darder ses rayons et tout et tout, c’est que l’humidité ambiante, alliée à une température que l’on peut qualifier de fraiche, raccourcit de façon notoire les distances.
Si, si…
Je tope à nouveau, autant être régulier de suite, mon départ sur le 2, je rate l’approche, je rate l’approche à nouveau, je rate l’approche à nouveau, non je n’ai pas fait d’erreur, j’en rate bien trois de suite, je relève la balle en ayant oublié que j’avais en stabbleford, deux coups rendus sur ce trou, si les neurones font défaut en plus du swing, ça peut se compliquer…
Une balle dans l’eau avec un superbe slice au départ du par 5 du trou numéro3 qui finit en double bogey, cela aurait pu être pire.
Mes compagnons s’en sortent bien mieux.
Réa est impressionnant dans ses mises en jeu, Jean Baptiste souffre un peu mais la découverte de ce parcours ne se fait jamais de façon miraculeuse de toute façon. On essaye de trouver les mots pour l’encourager, on essaye aussi de faire de même entre nous, le communautaire bat son plein, la bonne ambiance aussi, tout se passe bien à part le swing.
La brume s’épaissit un tantinet…
Sur le 4, par4, départ blanc, mais le vrai, pas celui pour rigoler, on ne voit pas le green.
Bon on sait où il est mais on ne le voit pas.
Je balance un bon drive, je me place devant la balle, je prends le télémètre, impossible de prendre une mesure avec la brume, je cherche une marque au sol, pour toucher le green, il me faudrait jouer le bois3…
Je répète donc le conseil du jour :
« Quand il fait fraichouille dans la brumasse, faut sur-clubber mon Jéjé »
Oui mais bon, y’a rien au dessus du driver en même temps…
Je m’en sors avec un bogey, deux putts sur une régulation+1, ça va.
Régulation+1 à nouveau au 5 mais un seul putt car mon approche roulée au fer7 termine à 1m du trou, ça aide pas mal.
Régulation au 6, deux putts, deux pars de suite des blancs, c’est bon, la journée est gagnée, cela suffit à mon bonheur.
Bonheur vite calmé au 7 où nos trois départs finissent dans le rough en bas à droite sur le flanc du dromadaire…double bogey…grâce à trois putts…
Je déteste faire trois putts.
Je préfère faire un slice au départ que trois putts sur un green.
La brume se transforme en petite gouttes, en bruine froide, je mets la veste anti pluie qui stoppe la pluie.
Ça marche encore !
On va passer trois trous comme ça, j’enlève, je remets, j’enlève et ensuite on restera au sec, du moins l’humidité nous entoure mais ne nous tombe pas dessus.
Par à nouveau sur le 8, ce charmant par3 qui est toujours plus loin qu’on ne le pense, j’ai pas fait dans la dentelle, attaque au Fli-hi 4 direct et deux putts. Petite frayeur sur le putt de retour quand même.
L’ambiance, elle est au beau fixe, le positivisme communautaire est une excellente technique !
Sur le 9 je fais un double à cause d’un bunker de green où le sable n’était pas du sable mais une sorte d’épaisse couche de plâtre en formation où le club reste collé dedans…
Sur le 10, gros drive et PW trop court, j’ai oublié le conseil du jour. Ce coup ci le bunker est en vrai sable donc ma balle traverse le green, un double encore…
Sur le 11, je prends deux clubs de plus mais ça ne suffit pas, je dévale la pente, je reviens juste sur le green avec mon 55°, putt de 3 ou 4m, je me place en répétant à haute voix « dedans, dedans » et la balle tombe effectivement dedans.
Si j’avais su qu’il fallait juste préciser ça avant…
On ne nous dit pas tout au golf mais pour réussir un putt, vous dites juste dedans avant et bingo !
Enfin je crois.
Sur le 12, un bogey avec un seul putt grâce à la même litanie, pour le coup je suis convaincu désormais et je vais me le dire à chaque putt, on ne sait jamais, sur un malentendu…
Le 13.
Le treize.
Ah le treize…
Bon départ, 150m du drapeau, je prends le Fli-hi4 histoire de refaire le coup du par3.
Dans l’eau…
Brume, humidité, froid, stratégie déficiente…double bogey.
Et encore grâce à un bon putt, j’en suis à sauver un double bogey après un bonne mise en jeu…
Arrive le 14, on laisse les chariots devant la belle plateforme de départ et on cherche les plots blancs.
Ah, y’en a pas.
Ah si !
Derrière la mare, 60m plus loin encore.
Les vrais blancs donc.
Et rien au dessus du driver…
Résultat l’objectif c’est juste de toucher le fairway.
Ce trou sera le summum de la bêtise pour ma part.
Je relèverais bien sur avant de putter, pour vous dire, en 7 coups, une pénalité incluse, impossible de toucher le green.
Pendant ce trou j’ai pleinement mesuré l’utilité d’un caddy qui aurait, depuis longtemps, évité de me laisser jouer avec un manque total de la plus élémentaire stratégie golfique…
Allez !
Pas grave !
Arrive les 4 trous légendaires de l’Albatros, c’est pour eux qu’on est venu !
Bon, nous sommes tous les trois conscients de ne pas avoir une carte exemplaire en termes de point alors, autant aborder ces trous en groupies plutôt qu’en compétiteur zélés…
Le 15, gros départ de Réa qui a été d’une régularité impressionnante durant tout le parcours sur les mises en jeu.
Ça donne des idées pour les compétitions de scramble ça…
Je fais mon drive du jour, je fais un top superbe au fer8 qui va tout de même attraper le green, le putt de birdie s’arrête à 20cm, rageant mais le par sur le 15 c’est toujours du bonheur.
Une gratte !
Un peu d’originalité, c’est toujours une bonne chose…
…Mais pas au golf... Et pas au 16…
Je reprends le green au fer9, putt en descente bien délicat, putt de retour dedans.
Zut j’avais oublié de le dire justement…
La brume s’est levée.
Au 17…
Par 4 de 430m, déjà qu’il vaut mieux le jouer en par5 en temps normal, là ça va être du sport.
Drive, 20° et fer8 qui prend le bord du green et dégringole la pente, approche et deux putts pour finir en double bogey.
Allez le finish, le final, l’apothéose, le 18 !
Encore un gros drive de Réa, j’allais dire comme d’habitude mais ce genre d’habitude laisse toujours admiratif.
Je ne me place pas trop mal aussi. La dernière fois que j’ai fait ce drive ici, j’avais un fer7 à jouer pour chercher le green, là, il y a une marque qui indique 198m…
Réa et moi réfléchissons…Stratégie pour jouer le green en trois et chercher le birdie ou audace ?
Nous choisissons bien la voie de la sagesse.
Bois 3 et testostérone.
Dans le grand bain tous les deux…
Mais nous finissons avec un bogey tout de même, Réa avec une belle approche courte et moi avec un bon putt grâce au mot magique.
Une zone tampon pour cette première des blanches, j’avoue que je ne suis pas mécontent du tout, surtout grâce à un putting très confiant.
De belles erreurs de stratégie qui me confirment un réel besoin de conseil en temps réel, l’idée de trouver des âmes charitables pour la saison prochaine ne sera pas inutile !
Et surtout, retrouver mon driver au plus vite.
Mais c’est pour très bientôt.
En attendant, même si la tournée a été pour moi, vivement qu’on y retourne !

samedi 5 décembre 2009

TEL EST TON…DESTIN…

Depuis deux jours, je scrute avec une anxiété non feinte le site de météo France pour voir l’évolution du temps car il y a trois rendez vous golfiques de taille ce week end.
Samedi, pluies éparses dans la région du golf de Greenparc.
Dimanche, pluie tout court autours de Villennes.
Lundi, nous sommes passés de pluies éparses à presque beau temps désormais autours de l’Albatros.
Déjà, pluies éparses, j’ai beaucoup de mal à visualiser à quoi cela peut bien ressembler.
J’ai hâte de découvrir le sens de ces termes…
Hier, première information importante, pas de match de coupe de Paris, pour cause de grippe dans le camp adverse.
Pluie tout court étant prévue, ça je visualise bien, tant mieux pour le report oserai je dire…
Ce matin, 6h, ordinateur allumé, direction météo France, pluie éparses et encore pas partout du coté de Greenparc et un soleil voilé l’après midi.
Les choses se sont améliorées, je peux finir de me réveiller sous la douche, de prendre un bon petit déjeuner copieux ensuite et de me déguiser en golfeur.
8h15, arrivée à Greenparc, il y a trois gouttes toutes les 5mn, ça y est je comprends le sens des termes « pluies éparses », ça me convient tout à fait.
Je verse mon obole pour le téléthon incluse dans la participation à la compétition et je repars avec un ticket de tombola en prime.
Je retrouve Dorian, le sort nous a désigné le départ en shot gun au 9, le trou le plus dur du parcours et nous serons avec le président de l’AS et son partenaire de jeu pour partager la partie.
Il est 9h, nous sommes en place, pas d’échauffement à part un café, chaud lui, impossible de trouver des jetons pour faire au moins un petit seau.
Cela m’ennuie un peu tout de même car, d’une part, j’ai besoin de ma petite heure d’entrainement préalable pour bien retrouver mes sensations sur chaque domaine du jeu et d’autre part, mon driver est à la maison, à la place il y a un petit monstre que je me suis proposé de tester.
Un driver tout noir de tête, visuel agressif mais facile à poser à l’adresse, shaft d’un modèle presque similaire à celui que je vais avoir bientôt.
Objectif, m’habituer aux sensations d’un shaft stiff.
À 9h, je n’ai fait que des mouvements d’échauffement, je n’ai tapé aucune balle et je suis au départ du trou le plus dur d’un parcours que je ne connais pas.
Zen.
Mais il ne pleut pas.
Bon, dans la balance cela ne pèse pas lourd mais ça console…
On va faire un trou splendide !
Le drive de Dorian part se coller contre un tronc à 50m du départ rouge, mon bois 3 vole en hook dans la forêt… le président nous propose de refaire le départ pour cause de balle injouable, au final cela se termine en triple bogey…
Triple bogey en scramble à deux…
Ça commence très fort…
On fera le par sur les 7 trous suivants sans jamais réussir le premier putt synonyme de birdie.
Birdie que l’on réussira au trou suivant, un par5. +2 à l’aller, ça peut aller à la limite vu que nous avons 4 coups rendus sur le parcours, on va dire qu’on est dans notre handicap.
Sauf que…
Depuis le troisième trou, la pluie soit disant éparse est plutôt bien présente et le vent s’est gentiment levé.
Et il a la pêche dès le réveil le bougre !
Bon, dans mon sac j’ai le bas et le haut de ma tenue anti-pluie-coupe-vent-à-l’épreuve-du-feu-et-des-balles donc, pas de panique je passe la veste malgré une aversion prononcée à jouer avec autant de couches de vêtements.
Par ailleurs, je découvre ce que veut dire anti pluie de deux façons.
La première au sens littéral du terme, quand je passe la veste, deux minutes après il ne pleut plus, c’est donc bien anti-pluie.
La deuxième, plus ennuyeuse après coup, se remarque quand la première ne fonctionne plus.
Ayant mis ce matin, sous le pantalon, une combinaison hiver qui me fait ressembler à un spider Man de banlieue quand je m’habille, j’ai choisi de ne pas porter en plus le pantalon anti-pluie-coupe-vent-etc. car pluies éparses signifiaient pour moi ce matin que ça ne mouillerait pas assez pour traverser les deux couches…
Erreur grave…
En effet, au bout d’un moment, la pluie a choisi d’être éparse tout le temps, le terme de « continue » devenant au fil des minutes de plus en plus appropriée même.
Ajoutez à cela le vent et le haut anti-pluie vraiment à toute épreuve, que se passe t’il ?
L’eau ruisselle, sans jamais vous mouiller le moindre poil de poitrine que tout mâle, post trentenaire arbore fièrement au sortir de la douche comme ça…l’air de rien.
Donc elle ruisselle disais je, vers le bas comme le veulent les lois fondamentales de la physique de base.
Mais en bas, niveau milieu de fessier à peu près, y’a plus rien, que nenni, que dalle et les deux couches de vêtement préalablement et prudemment installées ne font plus effet longtemps.
Et il est bien sur trop tard pour mettre le bas de la tenue de pluie vu que la boue a envahi chaussures et bas de pantalon.
Donc ça ruisselle, ça commence à refroidir et le vent fait son office tranquillement pendant ce temps là.
Tout ça pour dire que 7 par de suite et un birdie, nous étions plutôt satisfaits Dorian et moi.
Surtout Dorian qui, lui, avait son pantalon de pluie depuis le début.
Un point positif en plus pendant cette première moitié de compétition, le driver en test.
Ça change le stiff !
Très agréable de sentir que l’on peut vraiment lâcher son swing.
Il y aura donc quelques bons drives version « grosse cacahuète sur fairway » pendant cette première partie de la compétition.
Le retour va devenir plus compliqué.
Pluie, vent, froid, gants mouillés, les trois paires, attente car le groupe devant nous commence à ralentir la cadence.
La belle concentration s’effrite peu à peu et je ne me retrouve que très peu utile dans l’équipe. Les points forts du début disparaissent un par un malgré quelques beaux sursauts d’orgueil, malheureusement de plus en plus rares.
Résultat, +1 sur le retour, un birdie de plus grâce à un beau coup de fer de Dorian que je conclus avec un putt pas trop long. Sauf qu’on va faire deux bogeys de suite sur un par4 où je ne réussirai pas à apporter le petit plus et sur un par 3 ensuite que l’on négociera de piètre façon.
Trempés jusqu’aux os, un tantinet frigorifiés mais très contents tout de même car le parcours s’est déroulé dans une très bonne ambiance !
Oui, il faut dire que l’on bien rigolé tous les 4 entre les rigoles d’eau…
Direction le clubhouse pour un repas chaud et riche, une remise de prix où nous apprenons avec surprise notre troisième place et une tombola où nous gagnons, avec Dorian, un green fee pour le golf bien connu de Saint Germain lès Corbeil !
Il est temps de repartir, sous le soleil bien sur… De tout mettre au séchage, de nettoyer l’équipement car demain, si c’est possible, direction le practice afin d’être prêt pour le défi de lundi :
Faire baisser l’index en faisant l’Albatros du départ blanc !
Je me demande soudain si je sais vraiment ce que veut dire « presque beau temps » pour météo France moi…

vendredi 4 décembre 2009

DES VOLONTAIRES ?...REMERCIEMENTS…

Je tenais à remercier chaleureusement les 8 golfeurs qui se sont déjà proposés pour être caddy d’un jour lors d’une compétition pour l’année prochaine.

En province tout d’abord en espérant que j’aurai l’occasion de visiter un des golfs de leurs belles régions.
MAT pour la région de Bordeaux.
RIP pour la région Nord voir la Belgique.
ROM pour la Bretagne.

Pour l’île de France ensuite, un grand merci à :
BEN qui me rend la politesse avec plaisir, direction Saint Germain lès Corbeil ou Étiolles.
PARRAIN, alias GIRIOAL (retenez bien ce nom, il va faire parler de lui cet homme là vous allez voir) alias VINCENT avec qui j’ai déjà fait quelques parcours, nous aurons le choix donc.
1UP, alias Fred, alias Mister HIO car il y a peu, il a réalisé l’exploit dont rêve tout golfeur, un trou en 1 !
Et sur un par3 de Villennes !
Moi je dis chapeau bas, très bas…
Déjà qu’il s’est payé le luxe d’un eagle sur l’albatros…
Donc 1UP sera mon caddy coach à Rebetz, son golf favori que je connais et que j’aime beaucoup même si lui ne me porte pas vraiment dans son cœur.
KOKORO, alias YANN l’organisateur émérite pour la deuxième année d’un tournois à Montgriffon cet automne, grand connaisseur des golfs de l’Oise et du val d’Oise. Ce sera l’occasion de retourner sur un de ces parcours que j’aime aussi beaucoup.
Mais à vrai dire, je crois que j’aime tous les parcours, je ne suis pas un garçon difficile pour ça…
BENOHEM, que je ne connais pas encore de visu mais que je lis avec grand plaisir car il commente souvent mes déboires sur le blog et j’avoue être tout spécialement heureux qu’il se soit porté volontaire mais j’espère que l’on pourra faire un parcours ensemble avant pour faire connaissance.

J’avoue aussi que je ne pensais pas avoir tant de volontaires aussi vite et j’en suis vraiment honoré.
Cela me donne encore plus envie de réussir mes objectifs !
Si d’autres veulent se joindre au petit groupe, vous êtes plus que les bienvenus !

Bon je vais m’entrainer sérieusement cet hiver car j’ai bien l’intention de réussir une performance à chaque fois que je ferais une compétition avec l’un de vous…
Au boulot et plus que ça même !

TÉLÉTHON ET ALBATROS…

Ce sera le programme de ce week-end…
Un samedi sous la pluie pour la bonne cause.
Dorian m’a proposé, il y a quelques jours, d’aller faire une compétition en scramble à deux sur le golf de Greenparc.
Je ne connais pas ce golf mais une découverte en scramble c’est toujours une promenade agréable et comme cela va servir au téléthon…
En plus Dorian est un des deux joueurs très bien classé avec qui j’ai fait le BSC sur l’Albatros il y a peu, c’est un partenaire de confiance pour ce type de formule.
Albatros que je retourne fouler lundi pour une compétition d’index en compagnie de membres d’un forum ô combien instructif que j’ai découvert il y a peu : « coachingolf »
Normalement il ne pleuvra pas.
Normalement, ce sera la dernière compétition comptant pour l’index de l’année.
Normalement le départ se fera des blanches.
À coup sur cela ne va pas être de la tarte !
Et bien y’a plus qu’a !

mardi 1 décembre 2009

DES VOLONTAIRES ?...

Dans mes objectifs, encore une fois pas vraiment raisonnables mais c’est normal, le golf c’est une passion donc la raison n’y a point de place quand bien même cette phrase de passionné est écrite avec une base de raison, si vous voulez je mets un point à la ligne et on passe au vrai sujet ?
Donc.
Dans mon objectif de devenir single, terme de golf je précise, tout va bien dans mon couple, c’est qu’à la troisième année de golf qu’on divorce de toute façon, il reste un peu de temps, dans mon objectif disais je pendant que je me coupais la parole bien que ce soit de l’écrit...

...DANS CETTE OPTIQUE DONC !

J’ai l’intention de travailler à fond sur le mental pendant le parcours.
Et je suis conscient d’avoir besoin d’aide, d’assistance pour construire un mental correct qui tiendra 18 trous quoi qu’il arrive.
Le golf le permet d’une certaine manière puisqu’aucune règle n’interdit d’avoir un caddy, ou caddie, ou cadet lors d’une compétition, même celle du coin fut ce t-elle pour l’index du jour…

Voila donc le sujet du jour…
Je vais essayer de faire, en fonction du nombre de volontaires qui voudront bien m’épauler lors d’un parcours, une dizaine de compétitions avec un caddy sur 2010, idéalement sur la première moitié de la saison.
J’ai la joie d’avoir déjà deux amis volontaires, Ben et Vincent, Ben sur Saint Germain les Corbeil et/ou Étiolles et Vincent, n’importe quel golf sympa en île de France puisqu’il en connait un paquet.

Donc voici ma demande :
Je recherche des volontaires pour m’assister lors d’une compétition en faisant le caddy sur le parcours de leur choix, en île de France, (je suis sur Poissy dans le 78) entre mars/avril et juillet 2010.

Bien entendu, suivant l’heure de retour ou de départ, je me charge d’offrir le repas, la collation, le verre et/ou ma reconnaissance éternelle, au choix, avec en prime un article truculent je l’espère contant notre périple fou !

Le but que je vise c’est de réussir petit à petit à me construire un mental solide grâce à des expériences diverses de « coaching », des petits « trucs », des conseils de stratégie à chaud, que tout joueur passionné sait donner quel que soit son niveau.
Je le sais pour l’avoir fait avec Ben sur l'albatros alors que mon expérience de jeu était, et est toujours, dix fois moins importante que la sienne, j’avais pu quand même lui apporter un plus ce jour là.
et même pour moi, cela m'avait apporté quelque chose en matière de stratégie et de gestion de parcours que de faire le caddy ce jour là.
Donc, à mon avis, une somme de ces plus me serait des plus bénéfiques pour que je consolide cet aspect essentiel du jeu…

le mental...

Voila j’ai tout dis, alors qui aurait la gentillesse de partager cette expérience avec moi sur le parcours de son choix ?

Merci d’avance et bonne semaine !