M4C²... LE RETOUR…

Jamais un sans deux !

Je crois que c’est ça l’expression, me souviens plus…

C’est marrant, il y avait plein de gens que j’avais déjà vu l’an dernier à ce second Marathon des 4 Couleurs de Courson.

À croire que ça doit être une promenade de santé et non une compétition de dix heures de golf quasi non-stop…

Une météo inhabituelle, beau temps pour un premier juillet, on ne s’y attendait pas !

On a du faire avec…

Toujours 10 équipes de quatre joueurs présentes, toujours les forums bien représentés, je tiens à féliciter ceux qui ont pris la route à 4h du matin pour venir découvrir notre grand stade de golf Francilien qui gardait encore l’apparat des qualifications à l’Open de France disputées quelques jours avant.

Le petit plus de cette deuxième session, un par 4 départ rouge histoire de faire approche-putt au driver. Toujours le concours du kilomètre, pas atteint malgré les efforts d’une équipe dont je tairais le nom qui est arrivé avec un résultat à 1700m, forcément si on compte tous les drives des par5… Toujours le défi 10m qui a failli être gagné avec un superbe 10.70m. L’an prochain il va vraiment falloir que je prévois un prix pour ça,  ils vont finir par y arriver !

Hein ?

Non j’ai pas dis que je le referais…

Seul problème cette année, Grégory Bourdy a voulu jouer avec nous en s’incrustant dans la compétition, ça m’a fait mal au cœur mais les équipes étaient déjà constituées…

Par contre, je dis ça pour celles et ceux qui craignent une fin de nuit pour faire les 4 parcours de Courson, tout le monde a pu profiter du bar du Clubhouse avant la fermeture, ça y est la bonne organisation des départs a été trouvé, on la garde pour la prochaine fois !

Hein ?

Non j’ai pas dis que je le referais…

En plus cette année, grande première, nous avions le plaisir d’avoir un généreux sponsor avec nous !

Laurent Marysse, le légendaire patron de la société « Objectif Propre » s’est chargé de nettoyer le ciel du mauvais temps, a apporté à tous une serviette pour faire briller les clubs et une balle logotée (pourquoi le correcteur de Word me propose « ligotée » il est bizarre ce truc…) car je l’avais prévenu qu’à Courson, personne ne perdait ses balles donc inutile d’en amener de trop.

Sans oublier deux superbes bouteilles de champagne pour le tirage au sort !

En bref, du beau temps, du beau jeu, de la bonne humeur, une vraie journée pas perdue !

Et en ce qui me concerne, je me suis offert mon premier coup de fer pour eagle sur un par 4.

Le 7 vert, grâce à une superbe mise en jeu de Sylvain, partenaire émérite qui s’habille en rouge et ne prend pas de coups de soleil, nous avions 115/120m au drapeau. Fer9 pour moi, je dis « zut grattée » après mon swing, en fait je n’étais plus habitué à faire balle/terre/escalope/non merci sans sauce, la baballe est partie tout droit vers le mât et j’ai vécu ce suspens de s’approcher sans jamais voir la balle sur le green jusqu’à approcher du trou et la voir, tranquille, se reposant au fond !

Erratum comme on dit, l’an dernier j’avais fait une erreur en offrant une cuillère de doigts au lieu de bois à la valeureuse mais dernière équipe, j’ai pu me rattraper cette année avec une vraie cuillère de Bois !

Visiblement la mondialisation étant passé par là, j’ai du tombé sur une cuillère made in China, j’essaierais de faire mieux la prochaine fois.

Hein ?

Non j’ai pas dis que je le referais…

Bien qu’à part le prix du tirage au sort, les récompenses étaient anecdotiques et qu’en plus personne ne repart les mains vides de ma compétition de toute façon et que c’est surtout le parcours la récompense avant tout, il y a quand même un classement et des gagnants dont voici le tableau.

Comme vous pouvez le constater, aucune équipe ne gagne deux fois même si elle le mériterait amplement mais que voulez vous, ce n’est pas moi qui fait le règlement.

Ah mais si au fait.

Bah c’est comme ça et puis c’est tout !

Trêve de plaisanterie, à l’année prochaine, premier lundi de juillet, ce sera encore pire mieux !

Ah bah là j’l’ai dis finalement…

Jamais deux sans trois !

Ah oui c’est ça l’expression, je me souviens maintenant…