mercredi 18 septembre 2013

ENTRE DEUX OS…





À l’instar (Souchon en est une) de la plongée sous-marine, on progresse au golf par paliers.
À la différence qu’au golf la compression est aussi importante que la décompression, je ne sais pas si vous suivez.




Ce qui tombe bien, puisqu’en ce moment je suis à un palier à la fois mental et technique, ça va vous suivez toujours ?
Pour le mental je suis dedans depuis quelques temps déjà mais cela ne va tarder à se régler, d’ailleurs il ne faut pas que j’oublie de payer le téléphone en parlant de ça (vous êtes toujours là ?).

Pour la partie technique, pas de pot, cela m’est tombé dessus par hasard, car, pour paraphraser un illustre ami Gentleman, « j’ai trouvé un truc »…
J’ai enfin découvert d’où venait cette satanée trajectoire extérieur/intérieur au Downswing !
C’est la faute à mon bras droit, comme quoi il ne faut rien confier à un adjoint et tout faire soi-même…


Au lieu de rester soudé au reste de l’équipe, cet indépendantiste s’en allait au loin depuis là haut et forcément comme il est attaché et le restera je l’espère encore longtemps quelles que soient ses revendications, il revient de là bas pour revenir dans le dedans (je vous laisse visualiser) et il provoque ce truc étrange avec la balle qui vire à gauche toute pour repartir droite toute pire qu’un gouvernement socialiste…


Sans compter qu’avec ça il force les épaules à tourner plus vite que prévu pour un pull/slice du plus bel effet si jamais on joue sur un dog-leg droite de 203.50m à 90°, cherchez pas j’ai mesuré 10 fois déjà depuis que j’utilise un rapporteur en plus du télémètre…

Donc aujourd’hui tout va bien puisque sur le parcours j’en suis à la phase « une chance sur deux », phase que tout joueur a déjà vécu de connaître le nouveau swing mais de continuer aussi à faire l’ancien une fois sur deux…

Bonne nouvelle, lundi à Courson j’ai eu le bonheur de ne faire que le nouveau deux fois de suite sur le 6 vert et ça a donné un birdie au final avec un joli drive suivi d’un hybride à 180m à 2m du drapeau.
On va donc reprendre la bonne vieille technique dite du Stakhanovistus Practisum avec des séances de 2h non stop histoire de fixer le nouveau bidule à la place de l’ancien truc et tout ira bien, je pourrai retourner joyeusement dans les prés voir les fairways de près !


En plus le swing reste dans mon profil « Action Type » travaillé avec Dominique Fournet donc tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, c'est pas Aldous qui va me contredire...

Toute cette remise à jour tombe très bien puisque mon nouveau driver arrive, puisque j’ai dans mon sac d’entrainement un vieux bois 10° shaft Lady pour m’obliger à jouer en rythme, puisque je vois Mister Q dans une semaine pour faire le point matériel avant de partir à Saint Andrews et que pour faire joli j’ai programmé en moyenne deux compétitions par semaine.



Par contre, pas sur que tout soit en place pour le Grand Prix de Guerville étant donné que l’index est parti à la hausse mais on n’est jamais à l’abri d’une bonne surprise…

Et sinon, non, je n’ai jamais annoncé la fin de mon blog puisqu’il y avait une petite remarque cachée à la fin de mon dernier article, quel déconneur je fais quand même… 

Allez zou au travail !


En parlant de ça, une douce pensée à Lilly et à son Lord de mari qui est en plein travail, pas le Lord mais Lilly, pour donner le jour à une future golfeuse violoniste chanteuse d’Opéra, tout ça en même temps !

4 commentaires:

  1. Ne te perd pas dans trop de truc, on voit ce que ça donne :)))

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    1. je ne vais tout prendre non plus au noble JJ ;)

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  2. Oulà ça gamberge grave là dedans ! Faut prendre les problèmes l'un après l'autre si l'on ne veut pas que la machine se détraque pour de bon. généralement, lorsqu'on passe le cap technique, le mental se renforce, donc : practice, practice et practice :)

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