Commençons par une mise au point sur ce que j’écris à propos du swing, disons plutôt de MON swing, je précise. Non par égocentrisme mais par sécurité car je n’ai pas la prétention d’expliquer petit à petit comment il faut construire le swing mais comment je construis mon swing car s’il y a bien quelque chose de personnel, c’est bien son swing.
Le seul point commun que vous pourrez trouver en observant les grands joueurs (donc pas moi) c’est que la face du club arrive square à l’impact, pour le reste il n’y a quasiment aucun swing qui se ressemble.
Et comme dit le vieux sage chinois :
« L’expérience est une bougie qui n’éclaire que celui qui la porte »
Vous comprendrez donc que dans le récit de mes tribulations golfiques, mon but est de vous faire partager ma passion et surement pas de vous enseigner quoi que ce soit.
De plus, si vous lisez depuis le début, ou si vous avez le courage de le faire, vous verrez que pas mal de choses ont évolué, ce qui me semblait une vérité absolue en octobre a disparu en novembre et les exemples ne manquent pas par la suite…
Ceci étant dit, laissez-moi vous raconter la dernière découverte du jour que j’ai fait valider par maître Yoda afin d’être sur que je ne partais pas encore dans une mauvaise direction.
Le pouce de la main droite doit savoir garder sa place, voila la découverte.
Je m’explique.
Une des raisons de mon slice a été découverte vendredi et vérifiée ce matin pendant l’entrainement.
Je suis très attentif pendant ma routine à ma prise de grip, et à bien placer tout mes petits doigts, dont le pouce de la main droite qui fait la « pince » avec l’index de la main droite aussi parce que c’est déjà assez compliqué comme ça…
Je me suis rendu compte que quand je faisais de jolis slices, je retrouvais mon pouce droit au milieu de mon grip à la fin du swing, parti la pince, à plus la pince…
Ceci pour une raison assez simple, il est plus facile de céder à la force que d’y résister. En effet en haut du backswing, juste avant d’envoyer les chevaux pour la descente, il s’exerce une tension très forte sur la prise du grip alors pour faciliter cette transition on peut avoir tendance à modifier instinctivement la prise pour plus de souplesse dans le passage.
Et bien si on se laisse aller à faire ça, on s’expose à de belles déconvenues et le slice en fait partie.
Mais si on fait attention à bien conserver cette prise, les poignets se cassent bien et le club se referme correctement pour revenir dans sa position de départ au moment de l’impact et youpi la balle repart bien dans la direction voulue et y reste surtout !
Demain, match play, une petite heure de practice avant pour bien consolider cela avant d’entamer le parcours et tout devrait rouler…
Reste aussi à prévoir une nouvelle compétition d’index pour continuer la route vers l’objectif !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire