lundi 26 octobre 2009

LAG, CHIP, PSCHIT, PITCH…

L’un de ces termes n’a rien à voir avec le golf, sauras tu le retrouver chère lectrice ou cher lecteur ?
Tout le monde a gagné à part celles et ceux qui boivent des boissons gazeuses sur le parcours…
Sans transition (excellent non ? je pique une célèbre phrase de présentateur télé et pourtant ça reste golfique, je m’étonnerai moi-même si je n’étais pas aussi humble) hier après ma séance dominicale de practice, 4 petites heures où j’ai eu le plaisir de croiser quelques amis qui s’étaient frottés aux greens de villennes, je me suis dis que…
…ah je vous prie de bien vouloir m’excuser je dois partir à un rendez vous professionnel, vous voila donc obligés de patienter deux trois heures avant de reprendre la lecture.
Et on ne triche pas !
Je me suis dis que c’était vraiment bien de s’entrainer et de jouer souvent au même endroit car on trouve toujours un partenaire pour rendre le travail ludique.
(Je suis sur qu’il y en a qui n’ont pas attendu trois heures et qui ont continué à lire, les compressions de l’espace temps comparées au respect des usages sont de plus en plus difficiles à gérer)
En passant dans le club house je croise donc Edward, golfeur de haut niveau avec qui j’avais partagé une partie il y a peu. Il partait vers le practice.
Je le rejoins donc pour un seau de balles et nous allons de concert vers le putting green où Mister 5 d’index me propose un match play au putting.
J’avais prévu d’y passer un peu de temps pour travailler avec Ouaki, ce match amical tombe à pic.
La règle est simple, 1 point pour celui qui gagne le trou, 2 points pour le birdie (je vous avais bien dit que le green c’est un par2 !) et square en cas d’égalité.
Edward propose le premier qui arrive à 10, j’acquiesce, vingt minutes plus tard, je suis à 2-1, il propose le premier à 5 sinon on est parti pour finir en nocturne.
Il s’écoulera encore 20 bonnes minutes avant de conclure par une victoire 5-2 et une meilleure maîtrise du compère Ouaki qui a vraiment un gros coefficient de réponse !
Nous allons faire quelques drives dans la diagonale du practice, un ami nous rejoint en tenue de ville et se mêle de ses affaires en proposant un nouveau jeu, face à nous au bout, quatre peupliers cote à cote, c’est le fairway, un point dedans, zéro à coté.
Edward maîtrise totalement, moi j’arrose, le driver ressemblant de plus en plus à une branche de saule pleureur, je finis avec le bois3 pour réussir trois points de suite mais cette manche là est pour logiquement le meilleur de nous deux, le plus régulier donc, Edward.
J’aurai aimé faire quelques approches mais l’heure tourne et la nuit se prépare à nous tomber dessus avec une heure d’avance.
Je n’aime pas l’heure d’hiver !

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