Les golfs se suivent et ne se ressemblent pas.
Jeudi, je suis invité (mail à mon nom et tout et tout) à un cocktail dînatoire (avec des macarons en dessert et tout et tout) et le parcours offert pour le découvrir (les 18 trous, la brochette de fruits apportée à mi parcours et tout et tout).
J’ai donc découvert le golf de……………………………………………………….Villennes !
Présentation d’un abonnement BIZINESS.
La classe…
Bah oui fallait bien nous vendre un truc.
Mais j’en reparlerai car, l’air de rien c’est plutôt intéressant.
Et aujourd’hui direction l’Aigle avec un client, et oui, hier c’était du Biziness donc je reste dans la lancée.
Si vous croyez que je fais du golf par plaisir, point du tout !
C’est juste parce que c’est nécessaire dans mon travail, moi c’était tricot qui m’aurait plu…
Bref.
Client devenu ami, cela faisait quelques mois que l’on cherchait à se trouver assez de temps en commun pour enfin se faire une promenade golfique…
Deux parcours en deux jours, pas d’enjeu, l’occasion rêvée pour tester quelques trucs.
Augmenter petit à petit la vitesse au driver lors des mises en jeu.
Travailler le laisser aller avec le bras gauche à la descente.
Travailler la cassure des poignets, oui le terme n’est pas terrible, je suis sur qu’il doit exister un terme super pro mais la cassure, ça me parle mieux.
Et le putter aussi, enfin Ouaki mon copain Ouaki, que j’apprends à maitriser.
Oui, un toucher bien plus fin, un coefficient de réponse très élevé (ça fait pro ce genre de terme n’est ce pas ?), cela va demander un peu de temps mais on s’entend bien.
Ce furent deux bonnes journées de golf, pas de pluie pendant le parcours alors qu’il a plu avant et après. Du vent, juste assez pour changer de club donc un réel intérêt stratégique.
À retenir, mes shafts sont en effet devenus trop souples.
Le driver surtout, cela devient flagrant !
Il va falloir remédier à cela car je suis obligé de jouer à 80% sous peine d’arrosage intempestif !
Et cela m’ennuie un peu car pour continuer à descendre dans mon index, chaque poste de jeu doit être performant.
Au travail !
Enfin, plus que pour moi maintenant…
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