Ce matin, comme de nombreux matins, entre les coups de fil clients, les lectures des journaux en ligne et les cafés il m’arrive souvent de passer devant mon sac de golf.
Comme toute personne atteinte d’obsession golfique aigue, je sors un club au hasard, je me place à l’adresse et je teste un swing au ralenti.
Oui le ralenti a une utilité pédagogique certes mais surtout bibelotique ainsi qu’abat-jourophile.
Depuis quelques temps je m’acharne à conserver le haut du bras droit collé au corps pendant le backswing (je suis droitier) et je n’y arrive pas même au ralenti.
C’est assez frustrant je vous l’avoue, le club commence sa lente progression en arrière, mon genou gauche fléchit doucement, le club arrive à 9h, je vérifie qu’il n’est pas trop en arrière par rapport au plan de swing, je continue la montée et là toc, le bras se décolle !
Ça m’agace un tantinet…
J’ai aussi remarqué un gros défaut sur les photos que certaines personnes bien intentionnées (mon œil mais merci quand même) prennent sur le parcours quand on est en groupe, les hanches ne tournent pas, ou quasiment pas.
Alors ce matin, en passant devant mon sac, je prends le fer 5, et pas par hasard si vous avez suivi les textes précédents, et en avant le ralenti version « l’homme qui valait 457 347 050 d'euros » en faisant attention aux hanches et au collage de bras.
Miracle !
Ça marche !
L’un ne va pas sans l’autre !
C’était si simple…
Enfin en théorie parce que refaire le mouvement entier en moins d’une seconde cela risque d’être une autre paire de manche.
N’empêche que c’est très agréable de découvrir ces petits détails de bon matin…
Bon alors quand est ce que je peux aller au practice moi ?
Agenda ! au pied !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire